“La preuve par l’exemple” : la communication a justement décidé d’être exemplaire, ou, a minima, alignée avec les engagements portés par les organisations. Mais pas seulement : éco-anxiété, solastalgie… elle a entendu les attentes et les appréhensions des audiences. Assez tôt, la communication a compris et endossé son rôle (et sa capacité) d’accompagnatrice des changements de toute nature. Et précisément, il est là question de nature. Alors pour matérialiser le discours, elle se fait éco-communication en proposant des dispositifs à faible empreinte carbone mais à fort impact. Elle ne maximise plus mais optimise, et innove pour alléger les dispositifs ou prolonger leur durée de vie. Si l’économie est faite sur la gourmandise des moyens, elle n’en demeure pas moins soignée, voire ciselée. Et entre ainsi en résonance avec les aspirations sociétales, les grands défis de son temps et de son environnement. Si elle doit laisser une empreinte, elle sera positive !